Il faut si chaud, pourtant je lsens le vent glacial.
Pourquoi suis-je dehors? Je me souviens du feu à coté de mon lit et... mon lit prendre feu! Qu'en est-il de la maison?
En ouvrant les paupières j'ai était surpris d'en découvrir une autres à chaque oeil, vous savez comme les chats, c'est bien plus qu'étrange.
Suite à cette sensation bizarre je baillis et commença à AH! Qu'est_ce que?
Je vis mes pieds, mes pattes plûtot, s'étendre et les grippes se rétracter alors je me mis debout et tituba soudainement lorsque je perdis l'équilibre sur mes deux fines pattes arrières.
Pourquoi? Pourquoi est-ce que je suis comme ça?
Les yeux encore équarquillés de surprise, j'inspecte chaque poil que je peut voir sur ma peau et tente de me réveiller.
En vain.
Après ce quart d'heure de stupeur, je me posa enfin la question d'oû je pouvais bien être. Ma cabane était déjà bien enfoncer dans la fôret mais je ne reconnaissais pas du tout le coin malgré la hauteur à laquelle je me trouve.
Aucun signe de vie à l'horizon, si ce n'est pour la légére fumée, très fine, que je pu discerner avec ses yeux malgré la pénombre.
La cabane! Et les autres!
Si ma mémoire n'était pas parfaite, un flash m'est revenu de la nuit dernière. C'était mon tour de vérifier les environs pour ces foutus loups.
Je n'en avait jamais rencontré, seule les autres me racontaient leurs apparitions aussi soudaines que rapide. Cela doit bien faire, 2 mois, 3 mois que nous les cherchons pour au final ne retrouver que des griffures et quelques bêtes sauvages à terre.
Aussi incongru que cela puisse pâraitre, je me sens bien dans cette peau.
Ma fourrure est épaisse, mes yeux perçants ainsi que le restes de mes sens bien plus affûtés qu'ils ne les ont jamais étaient.
Si je pensais m'être adapter, courir à été une épreuve les premières minutes entre les grandes chutes et les branches dans les pattes, mon cerveau pensais encore pouvoir être bléssé. Maintenant je me sens mieux.
Presque heureux.
En descendant encore encore un peu, je me pétrifie à la vue d'une quinzaine de loups. On pouvait facilement différencier les jeunes des anciens.
Assis en une sorte de cercle, plus de la moitié des loups se contenter de regarder les alentours. Tandis que les plus petits se mordiller et couraient les un après les autres. Un loup en dehors du cercle essayer de grimper dans un arbre, il attira mon attention.
Je me suis rapproché de lui doucement mais determiné. Quand il me vit, il fit ce que l'on peut considérer comme un sourire et se mit à coté de moi.
Ce fut étrange, le sentiment le plus inconnu que j'ai ressenti.
Nous nous approchions des autres et je me senti...
Chez moi.
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Sans doute des fautes qu j'essaierais de corriger avec vos feedback ^^